Le nom de famille est généralement
utilisé pour désigner des personnalités célèbres, par exemple, nous disons:
Shakespeare, Jane Austen, Trump, Hillary, Opera, Einstein, Britney ou
Spielberg, tandis que dans de nombreux cas, les femmes célèbres sont désignées
en utilisant uniquement leur prénom, ou leur prénom et nom. En fait, c'est
étrange.
Le phénomène de nommer des femmes
célèbres pour leurs noms personnels est une réaction linguistique courante qui
inclut de nombreuses significations cachées dans la culture occidentale. Ce
comportement est aussi une étrange habitude qui révèle un biais qualitatif,
selon l'écrivain Clément Arborin dans son article paru dans le magazine
français "Travemina".
Une habitude populaire est cependant
courante
"Pour une raison obscure, il ne
semble pas naturel d'appeler les femmes par leur prénom, même lorsqu'il s'agit
de femmes qui sont largement connues et ont contribué à faire l'histoire et à
révolutionner un domaine particulier", a déclaré Arbreen.
Cette habitude linguistique n'a pas été
remise en question au fil du temps. Pire encore, cette habitude est très
populaire et largement utilisée, en particulier dans les publications anonymes
et les articles de journaux, bien qu'il soit erroné de poursuivre cette
réaction culturelle, et "nous devons cesser d'appeler des femmes célèbres
avec leurs prénoms", selon Pour l'écrivain.
Biais qualitatif
Dans leur article de référence,
"Comment le sexe (le sexe) détermine la façon dont nous parlons des
professionnels" publié par le Journal de l'American National Academy of
Sciences le 25 juin 2018, les chercheurs Steve Attier et Melissa Ferguson ont
clairement indiqué que les femmes ne s'adressent jamais de la même manière que
les hommes.
En examinant la façon dont les étudiants
et les professeurs parlent des scientifiques, les chercheurs ont constaté que
les professionnels masculins sont souvent désignés par leur seul nom de
famille. En conséquence, il est conclu que ce phénomène n'est pas simplement un
biais qualitatif, mais plutôt un privilège dont jouissent les hommes.
Selon Ferguson, "La mention d'un
candidat utilisant le nom de famille peut avoir des conséquences sur la
réputation." En résumé, cette habitude explique la réalité des «préjugés
sexistes», et tout ce que le terme signifie, c'est l'inégalité, les différences
et les différences que la société a créées pour distinguer les femmes des hommes.
Réduire la présence de femelles
Cette distinction, qui a été combinée
dans de nombreux domaines dans le domaine scientifique, est devenue
systématique. En conséquence, nous ne devons pas pointer du doigt la langue
dans ce cas, mais plutôt notre façon de penser.
Cette tendance à limiter la présence des
femelles se glisse partout dans le monde, et se manifeste par l'appel du public
à l'actrice anglaise Jodi Whitaker sous son nom de "Jodi". En bref,
cette coutume a touché un grand nombre de femmes célèbres dont les noms sont
raccourcis quand on en parle.
Par exemple, la duchesse de Sussex Megan
Markle est souvent appelée "Megan", et la présentatrice et militante
Oprah Winfrey est rarement mentionnée par son nom de famille. Le plus souvent,
la chanteuse Britney Spears est désignée par son nom "Britney" ou
"Brit".
De ce point de vue, un intervenant peut
se demander: ce phénomène s'inscrit-il dans les pratiques agréables et amicales
qui sont utilisées pour exprimer le soutien, ou a-t-il d'autres dimensions? En
fait, réduire le nom d'une femme célèbre à son prénom signifie diminuer son
impact sur son environnement, notre culture et notre monde.
Exclure les femmes du monde adulte
L'auteur a souligné que certains
considèrent qu'appeler la femme par son prénom est considéré comme un moyen
d'exprimer des sentiments d'admiration et d'amour, mais cette tendance
linguistique tend surtout à sous-estimer les femmes qui n'ont besoin de personne
pour imposer leur présence et élever la voix, ce qui signifie qu'elles sont
plutôt des mois de Incendie informé.
De plus, appeler des femmes de renommée
différente des hommes aspire à sous-estimer leur taille, ce qui ouvre la voie à
leur exclusion du monde adulte, en les privant d'une certaine position
professionnelle et des termes techniques qui leur sont liés.
Selon le journal américain
"Washington Post", les effets de ces mauvaises habitudes ne sont pas
anodins, car la capacité des journalistes et des "experts" à écrire
"Trump et Hillary" au lieu de "Donald Trump" et
"Hillary Clinton" est la face cachée d'un grand iceberg.
De plus, cette pratique révèle la
répartition inégale de la couverture médiatique lors des récentes élections
présidentielles américaines. En conséquence, ce phénomène rhétorique a affecté
- d'une manière ou d'une autre - l'opinion publique.
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